LES POILUS de GUÉMENÉ
nos grands-pères, ces héros...
et la photographie
nos grands-pères, ces héros...
et la photographie
La photographie était très importante pour la capture de scènes statiques, comme les portraits individuels ou collectifs
On utilise le procédé auto chrome breveté par les frères Lumière en 1903 et commercialisé en 1907, qui nécessite un certain temps de pose et favorise la capture .
Ci-dessous, nous vous présentons des photos de soldats Guémenois prises pendant ce conflit.
Si vous possédez de tels clichés ou autres photos de soldats, nous pouvons les ajouter à ce dossier. Vous pourrez, si vous le souhaitez, ajouter des commentaires ou vos récits.
Pour cela écrire à :
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M. GUILLAUME LE YAOUANC
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M. JOSEPH GUÉGAN
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M. LE BOULCH JEAN-MARIE
Avril 1917 : le 116ème Régiment d’Infanterie de Vannes et ses hommes (11ème Corps d’armée, 22ème Division, 43ème Brigade, 2ème Cie), sont dans les tranchées d’une première de ligne de front à Missy sur Aisne.
Situé dans le département de l’Aisne, région de la Picardie, ce village était occupé par les Allemands depuis janvier 1915 jusqu’en Avril 1917.
Depuis plusieurs jours, il n’y avait aucun signe de vie dans les tranchées allemandes de Missy sur Aisne. Le 26 Avril 1917, le Lieutenant Colonel Arnoux commandant le 116 RI, demanda à ses officiers d’envoyer un éclaireur pour s’assurer que les Allemands avaient battu en retraite, car l’offensive française se faisait sentir à coup de canons avec intensité.
Un sabotier de Lignol près de Guémené-s/Scorff, Jean-Marie Le Boulch, se porta volontaire pour explorer la tranchée adverse située à une centaine de mètres. Le soldat se mit en marche avec précaution et détermination... rien ne bougeait, mais arrivé à quelques mètres de la tranchée allemande, un déluge de feu s’abattit sur lui.
“Il piqua un 100 mètres” en retour précipité, les balles sifflant à ses oreilles et se jeta, tête baissée dans la tranchée française.Par miracle, aucune balle ne l’atteignit. Avec humour, il devait déclarer : “Ils sont toujours là, mon Colonel”.
La Croix de Guerre lui fut décernée pour ce fait d’armes et devint un héros du 116ème RI...
Situé dans le département de l’Aisne, région de la Picardie, ce village était occupé par les Allemands depuis janvier 1915 jusqu’en Avril 1917.
Depuis plusieurs jours, il n’y avait aucun signe de vie dans les tranchées allemandes de Missy sur Aisne. Le 26 Avril 1917, le Lieutenant Colonel Arnoux commandant le 116 RI, demanda à ses officiers d’envoyer un éclaireur pour s’assurer que les Allemands avaient battu en retraite, car l’offensive française se faisait sentir à coup de canons avec intensité.
Un sabotier de Lignol près de Guémené-s/Scorff, Jean-Marie Le Boulch, se porta volontaire pour explorer la tranchée adverse située à une centaine de mètres. Le soldat se mit en marche avec précaution et détermination... rien ne bougeait, mais arrivé à quelques mètres de la tranchée allemande, un déluge de feu s’abattit sur lui.
“Il piqua un 100 mètres” en retour précipité, les balles sifflant à ses oreilles et se jeta, tête baissée dans la tranchée française.Par miracle, aucune balle ne l’atteignit. Avec humour, il devait déclarer : “Ils sont toujours là, mon Colonel”.
La Croix de Guerre lui fut décernée pour ce fait d’armes et devint un héros du 116ème RI...
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Les jeunes artistes sont aussi de la partie...
dessin de Stéphane Guégan
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