13/04/2014

 
 
 
CHAPELLES ST EUGÈNE et ST DIBOEN
LOCMALO
 

Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées .
Nous sommes non loin de Locmalo dans la vallée de la Sarre.
Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées à une époque.
De la
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Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées à une époque.
De la chapelle Saint-Urlo, il ne reste malheureusement rien.
La chapelle Saint-Eugène date du 16ème siècle. Elle fut remaniée au 17ème et au 18ème siècle, en partie avec les pierres de la chapelle Saint-Urlo. Saint Eugène ne semble pas être le saint primitif honoré en ce lieu. En effet, en 1549, la chapelle était dédiée à Saint Tujean, à Saint Tuchen en 1626 puis à Saint Chuchen en 1679. Saint Eugène n’apparait qu’en 1695. En 1706, la chapelle est dite de Saint Suchen. Le premier saint patron serait, apparemment, Saint Tujen qui avait la réputation de guérir de la rage. La partie la plus remarquable de la construction réside certainement dans son clocher. La souche carrée, la chambre de la cloche largement ouverte, les gargouilles animales, les pinacles d’angle et les frontons aveugles l’apparentent au type cornouaillais.
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CHAPELLE ST JOSEPH
Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées à une époque.
De la chapelle Saint-Urlo, il ne reste malheureusement rien.
La chapelle Saint-Eugène date du 16ème siècle. Elle fut remaniée au 17ème et au 18ème siècle, en partie avec les pierres de la chapelle Saint-Urlo. Saint Eugène ne semble pas être le saint primitif honoré en ce lieu. En effet, en 1549, la chapelle était dédiée à Saint Tujean, à Saint Tuchen en 1626 puis à Saint Chuchen en 1679. Saint Eugène n’apparait qu’en 1695. En 1706, la chapelle est dite de Saint Suchen. Le premier saint patron serait, apparemment, Saint Tujen qui avait la réputation de guérir de la rage. La partie la plus remarquable de la construction réside certainement dans son clocher. La souche carrée, la chambre de la cloche largement ouverte, les gargouilles animales, les pinacles d’angle et les frontons aveugles l’apparentent au type cornouaillais.
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Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées à une époque.
De la chapelle Saint-Urlo, il ne reste malheureusement rien.
La chapelle Saint-Eugène date du 16ème siècle. Elle fut remaniée au 17ème et au 18ème siècle, en partie avec les pierres de la chapelle Saint-Urlo. Saint Eugène ne semble pas être le saint primitif honoré en ce lieu. En effet, en 1549, la chapelle était dédiée à Saint Tujean, à Saint Tuchen en 1626 puis à Saint Chuchen en 1679. Saint Eugène n’apparait qu’en 1695. En 1706, la chapelle est dite de Saint Suchen. Le premier saint patron serait, apparemment, Saint Tujen qui avait la réputation de guérir de la rage. La partie la plus remarquable de la construction réside certainement dans son clocher. La souche carrée, la chambre de la cloche largement ouverte, les gargouilles animales, les pinacles d’angle et les frontons aveugles l’apparentent au type cornouaillais.
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Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées à une époque.
De la chapelle Saint-Urlo, il ne reste malheureusement rien.
La chapelle Saint-Eugène date du 16ème siècle. Elle fut remaniée au 17ème et au 18ème siècle, en partie avec les pierres de la chapelle Saint-Urlo. Saint Eugène ne semble pas être le saint primitif honoré en ce lieu. En effet, en 1549, la chapelle était dédiée à Saint Tujean, à Saint Tuchen en 1626 puis à Saint Chuchen en 1679. Saint Eugène n’apparait qu’en 1695. En 1706, la chapelle est dite de Saint Suchen. Le premier saint patron serait, apparemment, Saint Tujen qui avait la réputation de guérir de la rage. La partie la plus remarquable de la construction réside certainement dans son clocher. La souche carrée, la chambre de la cloche largement ouverte, les gargouilles animales, les pinacles d’angle et les frontons aveugles l’apparentent au type cornouaillais.
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De style gothique flamboyant, la chapelle Saint-Eugène fut élevée au 16ème siècle (facade ouest et clocher), puis remaniée en 1663 (porte sud et nef) et au 18ème (transept).
 

Le titre de Saint-Eugène est certainement usurpé. La chapelle était dite, en 1549 de saint Tujean, en 1626 de saint Tuchen, en 1679 de saint Chuchen, en 1680 de saint Suchen. Saint-Eugène n'apparaît qu'en 1695. On peut affirmer que le saint qui était primitivement  honoré est saint Tujen, réputé guérir de la rage.

 
Construite à flanc de coteau, la chapelle actuelle s'étire en longueur (21m) et dessine une croix latine mais l'aile méridionale n'aurait été bâtie qu'en 1864.
 
La chapelle vue de la route


Le clocheton à souche carrée s'élève au droit du pignon occidental. La chambre de la cloche s'ouvre largement grâce à de hautes baies sous des linteaux à corbelets. De longues gargouilles animales la cantonnent à son sommet et la flèche polygonale s'élève entre les pinacles d'angle et de petits frontons aveugles. La silhouette évoque les clochers à jour cornouaillais.
 
 
L'intérieur, rénové depuis quelques années montrent les murs blanchis à la chaux et un lambris de la voûte. Le sol reste en terre battue dans la nef mais le chœur surélevé est dallé. Un bénitier de granit (porte méridionale ouverte ci-dessous) est posé sur un support ovale.


Une balustrade ajourée délimite le sanctuaire qui contient, sur un soubassement en granit, l'autel de bois, en forme de tombeau galbé, orné d'un médaillon central, d'une frise d'entrelacs et d'angelots aux angles


Il ne restent plus que les statues en plâtre de Saint Eugène dans la fenêtre de chevet (ci-dessus)
et de Saint Durlo et Saint Diboen (ci-dessous).

 
 
 
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LA CHAPELLE SAINT-DIBOEN


La minuscule chapelle voisine est dédiée au mystérieux Saint Diboen.
Le nom en breton signifie " qui soulage de toute peine" , ce qui a l'air d'un surnom.  Son nom s'écrit Saint Yboin à Locmalo.
De faibles dimensions, cette petite chapelle rectangulaire s'ouvre par une porte en plein cintre et le pignon est sommé d'une croix.
Sur le côté (midi) est percée une baie en quatrefeuilles et de l'autre côté (nord) s'étire une longue fenêtre à linteau et meneau de pierre.
Un pardon se célébrait le 5ème dimanche de Pâques et l'on y conduisait les enfants chétifs. La coutume voulait qu'on les enfermât sous l'autel dont le devant s'ouvrait à deux battants. S'ils se mettaient à crier, c'était de bon augure : ils vivaient ; s'ils demeuraient cois, c'était, au contraire, mauvais signe. 
Ce pardon était, dit-on, très animé et très bruyant et l'un des plus fréquentés de la région de Guémené.
 


 
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LA FONTAINE AUX TROIS SAINTS


A quelques pas vers l'Ouest, en contrebas de la route se trouve la fontaine édifiée par Mr Hellegouarch, recteur de 1890 à 1903. Elle est comprise dans une enceinte murée et dallée à laquelle on descend par deux escaliers de trois marches qui se font vis-à-vis.

 
 
Dans le large pignon triangulaire aux rampants moulurés et surmontés d'une sorte de pinacle, on a ménagé trois niches cintrées, celle du milieu plus haute que les deux autres et dominée par un cœur enflammé couronné d'épines. Elles étaient destinées à recevoir les statues des trois saints honorés dans ce lieu. Sous l'effet des intempéries, le bois s'est vite détérioré de sorte que les trois niches sont vides. Il n'en reste pas moins vrai que ce vallon pittoresque reste le centre de la triple dévotion aux saints Tujen, Diboen et Urlo.

 
Au-dessous, l'inscription"  Sant Dib'n Pedeit aveit domp " exhorte les fidèles à la prière. L'eau de la fontaine est réputée guérir les maux de ventre. La tradition veut qu'on trempe la chemise d'un enfant pour connaître son sort, ou qu'on frotte sa chemise contre la statue de Saint Diboen.
 


 
 

O0O

Le noir et blanc
a aussi son charme...

PHOTOS GÉRARD GUÉGAN
 1963
 


 





 
 
PHOTO FRANÇOIS TRINEL
 

 
 
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Dans ce « Vallon aux trois saints » comme on le dénomme joliment, trois chapelles et leur fontaine se sont côtoyées à une époque.
De la
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Photo prise lors du Pardon
mai 2013
 



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